4ème de couverture
Un été sans climat. Un temps sans climat qui s’étire dans le filigrane. Le temps relatif de la sensation qui s’écoule et s’écoute. La dilatation choisie d’automnes précoces dans l’expression d’un corps agissant, d’un corps de voyageur immobile, observateur, absorbateur sans pénitence des saisons et des couloirs d’attente, accueillant les avatars d’une enveloppe humaine en recréation constante
Une pierre de plus dans « Le jardin de novembre ». Il est désormais acquis que chaque nouvel opus décuple le précédent dans la déclinaison infinie du sentir.
Précipitons-nous : ce ne sera jamais la fin !
MORNING POST
Une ligne interminable de boutons de nacre que l’on n’a de cesse de dégrafer tous pour en découdre avec la nue.
FRANKFURTER ZEITUNG
La réinvention du mille-feuille, sans s’en mettre partout.
LE QUOTIDIEN DU MARDI
décembre 2007, Paris
Une pierre de plus dans « Le jardin de novembre ». Il est désormais acquis que chaque nouvel opus décuple le précédent dans la déclinaison infinie du sentir.
Précipitons-nous : ce ne sera jamais la fin !
MORNING POST
Une ligne interminable de boutons de nacre que l’on n’a de cesse de dégrafer tous pour en découdre avec la nue.
FRANKFURTER ZEITUNG
La réinvention du mille-feuille, sans s’en mettre partout.
LE QUOTIDIEN DU MARDI
décembre 2007, Paris