19 janvier 2008

4ème de couverture

Un été sans climat. Un temps sans climat qui s’étire dans le filigrane. Le temps relatif de la sensation qui s’écoule et s’écoute. La dilatation choisie d’automnes précoces dans l’expression d’un corps agissant, d’un corps de voyageur immobile, observateur, absorbateur sans pénitence des saisons et des couloirs d’attente, accueillant les avatars d’une enveloppe humaine en recréation constante


Une pierre de plus dans « Le jardin de novembre ». Il est désormais acquis que chaque nouvel opus décuple le précédent dans la déclinaison infinie du sentir.
Précipitons-nous : ce ne sera jamais la fin !

MORNING POST

Une ligne interminable de boutons de nacre que l’on n’a de cesse de dégrafer tous pour en découdre avec la nue.
FRANKFURTER ZEITUNG

La réinvention du mille-feuille, sans s’en mettre partout.
LE QUOTIDIEN DU MARDI



décembre 2007, Paris